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HAM (80) - CARTES POSTALES

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925. HAM.- Cantine de la Gare installée par les Allemands. Canteen instaled by the Germen vers 1917-1918 carte postale (Visé Paris n° 25 / L.L. / Lévy Fils Et Cie, Paris) 9 X 14 cm Ham-Paris, collection Beaurain *** Commentaire Le dos de l'illustration à fond vert et divisé en deux parties égales pour la correspondance et l'adresse du destinataire suggère une date d'édition postérieure à 1916. Les initiales "L.L." font allusion à Georges Lévy et Moyse Léon, photographes, qui fondèrent leur propre studio en 1864 et vendirent des vues stéréoscopiques sous la signature "Léon & Lévy" (L. L.). En 1874, Georges Lévy devint le seul directeur de la société, qui se nomma "J. Lévy et Cie".  Le photographe s'associa, en 1895, à ses deux fils Ernest et Lucien, tout en conservant la marque "L. L.". Il proposa à la vente, non seulement des photographies à l'unité ou réunies en album de voyages, mais aussi des cartes postales estampillée

HAM (80) - CARTES POSTALES

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  Vue du Château de Ham vers 1903 carte postale (Imp. Juniet-Rasse à Ham) 9 x 14 cm Ham-Paris, collection Beaurain *** Correspondance  : Autour de l'illustration : " Mes chers parents. Reims le 5 mars 1903. Je suis à l'infirmerie depuis hier ; il paraît que je vais avoir les oreillons. Le proviseur doit certainement vous écrire pour vous dire que je retournerai demain à Grandpré. Ce n'est pas la peine de venir me rechercher. Je retournerai bien tout seul. Que maman ne s'inquiète pas. Les autres ont vacances de samedi soir à lundi soir. Comme température, j'ai 37°5. Envoyez à M le proviseur une dépêche pour qu'il me laisse partir seul pour ne pas vous déranger et ne lui dites pas que je vous ai écrit. Je vous embrasse tous. André." Adressée à " Monsieur et Madame Bertaux / Notaire / à Grandpré / (Ardennes) " *** Commentaire  : Le dos de l'illustration est exclusivement réservé à l'adresse du destinataire. Le tampon de la poste confirme

PARIS (75) - CARTES POSTALES

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  292 - PARIS. - Boulevard des Italiens - Pavillon de Hanovre vers 1903 carte postale 9 x 14 cm Ham-Paris, collection Beaurain *** Correspondance  : Sur l'illustration : " Bons baisers et merci. Marie " Adressée à : " Mademoiselle L. Lamelot / Rue de Tours / Loches / Indre-et-Loire " *** Commentaire  : Le dos de l'illustration est exclusivement réservé à l'adresse du destinataire. Le tampon de la poste confirme la date de circulation : " 8-11 / 03 " La façade d'origine du pavillon de Hanovre (rez-de-chaussée et premier étage), que l'on suréleva et dénatura considérablement au XIXe siècle, fut classé au titre des Monuments Historiques en 1925. On prit, en 1930, l'heureuse décision de la démonter et de la transférer au parc de Sceaux, alors en cours de restauration, lorsque se dessina le projet de bâtir le palais Berlitz à son emplacement. *** PARIS BOULEVARDS CP86

PARIS (75) - CARTES POSTALES

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  277   PARIS (VIIIe). - Le Boulevard des Italiens. -Le Pavillon de Hanovre (à droite) construit en 1760 seul reste de l'Hôtel d'Antin qui appartint au Duc de Richelieu. - LL vers 1921-1924 carte postale (LL / Lévy et Neurdein réunis - 44, rue Letellier - Paris) 9 x 14 cm Ham-Paris, collection Beaurain *** Correspondance  : " Mes meilleurs vœux pour 1924 / Roger " Adressée à " Mme Mlle Vieljus / 1 Quai Neuf / Alais / (Gard) " *** Commentaire  : Le revers de l'illustration ne porte pas la mention "carte postale", qui n'était plus obligatoire après 1899. C'est toutefois une option rarement retenue par la plupart des éditeurs. Après 1904, ce côté est clairement divisé en deux parties égales réservées à la correspondance et à l'adresse du destinataire.  Le tampon de la poste donne la date de circulation : " 3-1 / 24 " Les initiales "L.L." font allusion à Georges Lévy et Moyse Léon, photographes, qui fondèrent leur pr

SCEAUX (92) - REVUES

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  Georges POISSON " La restauration et la mise en valeur du domaine de Sceaux " Revue du Touring Club de France , juillet-août 1955, n° 653, p. 359-361 27 x 21 cm Ham-Paris, collection Beaurain *** " Le 11 novembre 1923, le département de la Seine achetait pour la somme de treize millions à la princesse de Faucigny-Cystria, dernière descendante de la famille de Trévise, le domaine de Sceaux. La revue du Touring Club de France a évoqué en son temps le véritable domaine de la Belle au bois dormant  qu'était devenue la propriété de Colbert, les premiers travaux de restauration et l'aménagement du musée de l'Île-de-France. Il peut être intéressant, trente ans plus tard, de faire le point de l'œuvre considérable entreprise, de dire quels ont été depuis la guerre les travaux accomplis et d'essayer de définir l'avenir du domaine. Quand survint 1939, on suspendit les travaux. Une partie importante du domaine avait déjà été ouverte au public : les parterre

SCEAUX (92) - REVUES

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  "Le château et le parc de Sceaux" quatre pages extraites de la revue Le Magasin pittoresque 1846, t. XIV, n° 40, p. 313-318 28,9 x 19,2 cm Ham-Paris, collection Beaurain *** (Entrée de l'ancien château de Sceaux dans l'état actuel.) " La célébrité de Sceaux a commencé en 1214 avec les reliques de saint Mammès, martyrisé en Cappadoce, qui y furent apportées par le chevalier Adam de Cellis. Ces reliques que l'on conservait dans l'église de Sceaux, étaient, dit-on, très efficaces pour guérir différentes maladies, et attiraient un grand nombre de pèlerins. En 1597, la terre de Sceaux fut achetée par Louis Potier de Gesvres, qui y bâtit le premier château. L'un de ses descendants, Antoine Potier, secrétaire d'Etat, obtint en 1612, des lettres-patentes, par lesquelles Sceaux fut érigé en châtellenie ; mais bientôt après il fut tué au siège de Montauban ; sa châtellenie passa à son frère René Potier, duc de Tresme, pari de France, et en 1624, Sceaux, p

PARIS (75) - PHOTOGRAPHIES

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  L'église Sainte-Marie-des-Batignolles. Cortège funèbre premier quart du XXe siècle photographie argentique 8 x 6 cm Ham-Paris, collection Beaurain *** Commentaire  : Une inscription au crayon à papier est portée au dos de la photographie :  " Ste Marie / des Batignolles / M. L. " Bâtie en 1828, puis agrandie en 1841 par l'adjonction de bas-côtés, l'église Saint-Marie-des-Batignolles se dresse sur un îlot encadré par la rue Legendre, la place Charles-Fillion et une allée piétonne plantée d'arbres. Elle forme le cœur de la place du Docteur-Félix-Lobligeois, dans le XVIIe arrondissement.  Sainte-Marie-des-Batignolles devint église paroissiale après l'annexion de la commune des Batignolles-Monceau en 1860. S a façade occidentale, qui rappelle celle d'un temple grec, s'articule autour d'un porche soutenu par quatre colonnes toscanes. Elle est précédée d'une grille et d'un très large escalier menant à une grande porte axiale et à deux plus